Les trois cartes

Stephen King

Deuxième tome de la fameuse fresque de la Tour Sombre, l'épopée oscille toujours entre fantastique et fantasy.

Les trois cartes

Quelques mots sur l'auteur. Stephen Edwin King, plus connu sous le nom de Stephen King, est un écrivain américain né le 21 septembre 1947 à Portland, dans le Maine.

Il a publié son premier roman en 1974 et est rapidement devenu célèbre pour ses contributions dans le domaine de l'horreur mais a également écrit des livres relevant d'autres genres comme le fantastique, la fantasy, la science-fiction et le roman policier. Tout au long de sa carrière, il a écrit et publié plus de cinquante romans, dont sept sous le pseudonyme de Richard Bachman, et environ deux cents nouvelles, dont plus de la moitié sont réunies dans neuf recueils de nouvelles. Depuis son grave accident survenu en 1999, il a ralenti son rythme d'écriture. Ses livres ont été vendus à plus de 350 millions d'exemplaires à travers le monde et il a établi de nouveaux records de ventes dans le domaine de l'édition durant les années 1980, décennie où sa popularité a atteint des sommets.

Pitch. Echoué sur une plage peuplée de monstres, gravement blessé, Roland de Gilead se retrouve face aux trois portes qui jalonnent sa route vers la Tour Sombre, son but ultime. Par elles, il parcourra l'espace-temps, rencontrera trois compagnons insolites et reverra Jake, cet enfant dont le souvenir le hante et qui semble nécessaire à sa quête. Alors que le temps devenu fou joue contre lui et les siens, le Pistolero saura-t-il démasquer ses noirs ennemis, magiciens et démons ligués pour s'emparer de la Tour ? Est-il prêt pour cela à partager son idéal, en s'en remettant au ka - le destin ? C'est pour lui l'heure de vérité...

Ce que j'en ai pensé. Deuxième tome de la Tour Sombre et toujours aucune tour en vue. Pour le moment, c'est toujours aussi poussif, non dénué totalement d'intérêt mais quand même.

Je vais donc persévérer encore un peu mais si ça ne démarre toujours pas je doute d'aller au bout des 7 tomes.

diaspora*
blog comments powered by Disqus

(c) Ceci n'est pas un copyright.