L'alliance des trois

Maxime Chattam

Premier tome de la série Autre-Monde, qui en compte 7, ce roman de littérature ado oscille entre fantastique et science-fiction, tendance post-apo.

L'alliance des trois

Quelques mots sur l'auteur. Maxime Chattam et Maxime Williams sont des pseudonymes de Maxime Drouot, romancier français, né le 19 février 1976 à Herblay dans le Val-d'Oise, qui, à la suite d'études en criminologie, s'est spécialisé dans le roman policier.

En 1988, il passe quelque temps dans la jungle thaïlandaise. Le journal qu'il écrit alors est sa première expérience avec l'écriture. Il la poursuit au début des années 1990 avec ses premiers essais littéraires d’abord inspirés de Stephen King et notamment du film Stand By Me tiré de la nouvelle Le Corps dans le recueil de nouvelles Différentes Saisons.

Il reprend des études de lettres modernes. Il écrit Le Cinquième Règne à cette époque puis fin 1999, il est engagé à la Fnac au rayon « livres policiers », ce qui le met en contact avec les maisons d'éditions. Maxime Chattam se fait remarquer et propose en lecture son premier polar aux plus gros fournisseurs de la FNAC. Michel Lafon lui donne sa chance. Le Cinquième Règne est publié bien plus tard, en 2003, sous le pseudonyme de Maxime Williams.

Pitch. Personne ne l'a vue venir. La Grande Tempête : un ouragan de vent et de neige qui plonge le pays dans l'obscurité et l'effroi. D'étranges éclairs bleus rampent le long des immeubles, à la recherche de leurs proies, qu’ils tuent ou transforment... Après leur passage, Matt et Tobias se retrouvent sur une Terre ravagée, différente. Désormais seuls, ils vont devoir s’organiser. Pour comprendre. Pour survivre... à cet Autre-Monde.

Ce que j'en ai pensé. Ce premier tome sert de mise en place pour l'univers qui va être développé dans cette série. Les personnages sont rapidement indroduit ainsi que le contexte dans une ambiance de thriller. Le rythme proposé par l'auteur est assez rapide et très cinématographique.

En bon page-turner, ce roman peut se lire pratiquement d'une traite tant le style est maîtrisé. L'univers proposé pose suffisamment de questions pour garder un intérêt assez constant et inciter la lire la suite. Pour autant, et même si la lecture en a été agréable, je ne pense pas lire la suite. M'engager sur 7 tomes est une première cause de démotivation. De plus, cela reste très classique et un peu convenu. Seule la maîtrise de l'écriture fait que j'ai pu continuer et aller jusqu'au bout.

diaspora*
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