China Miéville
Une fois de plus, China Miéville frappe fort. L'oeuvre est assez difficile à classer mais on peut ranger dans la catégorie fourre-tout de fantasy urbaine, d'horreur fantastique contemporaine, ou alors ne pas classer parce que c'est idiot et juste se délecter.
Au départ, j'ai beaucoup pensé à American Gods de Neil Gaiman mais en plus absurde ce qui n'est pas forcément un mince exploit. L'autre exploit consiste à faire tourner toute une histoire de fin du monde autour d'un poulpe (même pas capable de prédire le résultat d'un match de foot en plus).
Bref, que du bonheur encore une fois.